Bien sûr, Marc avait résolu un problème : celui du transport...

Alors, avec Marc et Pascal on a descendu le buffet,

mis dans les voiture et direction : le Morvan

On s'éloignait le plus possible de Macron

qui veut nous confiner si on ne fait pas rapidement de 3 ème piqûre

et on pensait :

Le soir-même le déménagement avait commencé :

En attendant que le buffet trouve sa place,

une petite bouillotte serait la bienvenue,

surtout après une partie de scrabble,

où je crois bien que j'ai gagné

mais comme Lucile comptait les points, elle a dit que c'était elle.

Après une bonne nuit entrecoupée du remplissage de la cheminée à 2 et 5 heures,

la journée s'annonçait magnifique !

on discutait du meilleur endroit pour placer le buffet

qui attendait sagement dans la voiture en pièces détachées

Quand on s'est mises au travail, ce n'était pas évident...

on a encastré les tasseaux aux lettres correspondantes inscrites par Marc

C'est là qu'on a eu un petit moment de déprime

mais finalement,

on a réussi !

C'est l'emplacement idéal.

Et tandis que Paule installait les vitres,

Lucile se préparait à une autre tâche :

peindre la nouvelle porte :

Pour le dîner, Paule voulait nous faire manger

un radis bizarre

de son jardin

Quant à moi, j'installais les œuvres de Pierre dans le petit musée :

Et le soir, on s'est régalé avec un plat local : des crêpes

Encore quelques petits bricolages

avant de se fourrer sous l'édredon avec une bouillotte

Puis vint le p'tit déj' d'avant le départ...

o

Avant de fermer la porte, j'admirais notre travail.

Dehors, j'avais fait disparaître

les trace d'inconnus venus se soulager chez nous

ainsi que le papier hygiénique qui flottait dessus

mais les mouches, mécontentes de cette nouvelle situation,

se regroupaient comme pour une manifestation

Mais moi, j'étais aussi indifférente au mécontentement des mouches

que Macron quand il décide de nous retirer le passe sanitaire

si on n'a pas la 3 ème dose le 15 décembre

je partais sereine

je me foutais des mouches.

Alors que certains n'y croyaient pas,

On avait réussi !

fin